
Lisez par vous même...
"Je suis passé sur les lieux 15 ans après le drame. Les anciens expliquaient qu'il y avait un fort vent de sable qui réduisait la visibilité. L'ensemble des pièces de l'hélico avaient été pillées, seul l'axe du rotor et des bouts de pales attestaient le drame. Je crains qu'aujourd hui les salafistes aient encore plus détruit ce lieu de mémoire occidentale
J'ai retrouvé les photos prises l'été 2003 à Gourma Rharous, Je travaillait pour un agence de raids 4x4, à la découverte d'un itinéraire reliant Tunis à Dakar .Après avoir galéré toute une après-midi dans un marécage au sud du fleuve Niger, le lendemain le 4 Aout nous avons cherché un bac sur le Niger ;
Les jeunes que nous avons rencontrés sur la piste nous ont proposé de nous mener sur les lieux du crash de l'hélico du Paris Dakar qui n'était pas du tout signalé."
Fin de la Première Partie. (A suivre)
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