
Balavoine comes to defend Shepherd in the "Court of the Blatant frenzies" on France Inter
Toute la semaine, Didier Varrod évoque dans l'Esprit Inter le vent de liberté et de rires que Claude Villers, Luis Rego et Pierre Desproges faisaient souffler chaque jour à l'antenne au début des années 80. Jeudi 13 août, c'est aux deux chanteuses de Brigitte qu'il fait écouter une archive méconnue : Michel Berger au "Tribunal des Flagrants délires".
Nous sommes le 23 décembre 1980. La vague Starmania a déferlé en France l'année précédente. Avec la "groupie du pianiste", France Gall occupe le haut des ventes de disques. Un chanson écrite deux ans plus tôt, mais que WEA, la maison de disque de Michel Berger, a longtemps hésité à sortir.
Sur le banc des accusé du "Tribunal des Flagrants délires" en ce 23 décembre : Michel Berger.
Le président du tribunal, Claude Villers, appelle à la barre le témoin à décharge : Daniel Balavoine (qui avait lui-même été, deux semaines auparavant, accusé d'usurpation de fonction*) .
« - Vous avez entendu les chefs d'inculpation, entre autre celui de proxénétisme ?
- Oui, ça je suis complètement d'accord ! Mon seul problème, c'est de ne pas avoir de femme qui veuille faire la même chose... »
Lien ci-dessous :
http://www.franceinter.fr/depeche-archive-balavoine-vient-defendre-berger-au-tribunal-des-flagrants-delires
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